Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a été critiquée pour son inefficacité face à la recrudescence des coups d'État dans la région. Depuis 2020, plusieurs pays membres, dont le Mali, la Guinée, le Burkina Faso et le Niger, ont connu des changements de régime par la force. Dailleurs ces pays avaient aleur tête des présidents qui eux meme ont ete "élus " en manipulant les urnes. La seule légitimité de ces présidents était la reconnaissance par l'occident et particulièrement la France.
Les coups d'État en Afrique de l'Ouest sont souvent le résultat de la mauvaise gouvernance, de la pauvreté et du chômage, notamment chez les jeunes. Ces problèmes sont exacerbés par des dirigeants qui modifient les constitutions pour prolonger leur pouvoir, sans rendre compte à leurs populations. La CEDEAO a été critiquée pour sa complaisance face à ces violations des principes démocratiques.
La CEDEAO a tenté de répondre à ces crises par des sanctions économiques et politiques, mais ces mesures n'ont jamais été éfficaces pour dissuader les putschistes. Par exemple, malgré les menaces d'intervention militaire au Niger, l'organisation n'a pas réussi à rétablir l'ordre constitutionnel après le coup d'État de juillet 2023.
Les sanctions imposées par la CEDEAO n'ont pas réussi à prévenir d'autres coups d'État, comme le montrent les cas du Mali, du Burkina Faso et de la Guinée. Cette inefficacité est due en partie à un sentiment de "deux poids, deux mesures" dans l'application des sanctions, ce qui a affaibli la légitimité de l'organisation.
Les coups d'État en Afrique de l'Ouest sont souvent le résultat de la mauvaise gouvernance, de la pauvreté et du chômage, notamment chez les jeunes. Ces problèmes sont exacerbés par des dirigeants qui modifient les constitutions pour prolonger leur pouvoir, sans rendre compte à leurs populations. La CEDEAO a été critiquée pour sa complaisance face à ces violations des principes démocratiques.
La CEDEAO a tenté de répondre à ces crises par des sanctions économiques et politiques, mais ces mesures n'ont jamais été éfficaces pour dissuader les putschistes. Par exemple, malgré les menaces d'intervention militaire au Niger, l'organisation n'a pas réussi à rétablir l'ordre constitutionnel après le coup d'État de juillet 2023.
Les sanctions imposées par la CEDEAO n'ont pas réussi à prévenir d'autres coups d'État, comme le montrent les cas du Mali, du Burkina Faso et de la Guinée. Cette inefficacité est due en partie à un sentiment de "deux poids, deux mesures" dans l'application des sanctions, ce qui a affaibli la légitimité de l'organisation.
Pour améliorer son efficacité, la CEDEAO doit renforcer ses mécanismes de prévention en s'attaquant aux causes profondes des coups d'État, telles que la pauvreté et le chômage. Elle doit également appliquer ses protocoles de manière cohérente pour éviter les perceptions d'injustice et renforcer la démocratie dans la région. De plus quand la " leçon " vient d'une organisation dont les membres comme Ouatara ou Faure Gnassimbe pietinnent la démocratie depuis des lustres, Il est difficile dans ce cas d'être....un minimum crédible.