Avec une population de 40% de gabonais qui vit sous le seuil de pauvreté et devant l'indécence du train de vie des Bongo, toutes generations confondues, et ce depuis 1967.Cette "grève de la faim" ne fait que confirmer l'arrogance sans limites de cette famille.
Au Gabon, l'annonce récente de la grève de la faim initiée par l'ancien président Ali Bongo et ses fils, pour "dénoncer des allégations de séquestration et de torture" contre des membres de leur famille a suscité a juste titre une réponse ferme des autorités.
La ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Laurence Ndong, a exprimé la surprise des autorités gabonaises devant cette démarche. Elle a affirmé que l'ancien président Ali Bongo Ondimba, ainsi que ses proches, bénéficient d'un traitement respectueux et dignitaire. Les déclarations des avocats de la famille Bongo Ondimba ont été qualifiées de "calomnieuses et mensongères".
La réaction gouvernementale survient dans un contexte politique tendu, marqué par le coup d'État de 2023 ayant renversé Ali Bongo Ondimba. Alors président depuis 2009 ,Ali Bongo n'était plus en possession de toutes ses facultés mentales.Le pays etait géré par sa femme Sylvia afin de preparer son fils Nourredine a la reprise de la pire kleptocratie d’Afrique.
Le général Brice Clotaire Oligui Nguema est venu mettre fin à cette mascarade familiale.